carpe koi les plus chères du monde

Quels sont les carpes Koï les plus chères du monde ?

Les carpes koï ont beau avoir un caractère paisible et amical, mais si vous devez acheter certains spécimens, il vous faudra dépenser une vraie fortune. En effet, les carpes koï existent en plusieurs variétés très coûteuses. Il vous faut, par exemple, débourser plusieurs milliers d’euros pour vous procurer des Kōhaku adultes, une variété de carpe koï bicolore (rouge ou orange et blanc) très populaire au Japon. On peut compter par dizaines les types de carpes koï dont le prix donne froid dans le dos et dans cette catégorie, il existe 10 variétés de carpess qui arrivent en tête de classement parmi les koï les plus chers. Les voici classés du moins cher au plus cher.

10. La carpe koï Ogon vendue à 7 400 euros

carpe koï Ogon

La plupart des variétés de koï présentent trois couleurs distinctes, mais la race Ogon est un type de koï de couleur unie. Cette coloration unique en écailles rend l’Ogon plus rare que la plupart des koïs multicolores. Par conséquent, les spécimens Ogon ont tendance à se vendre à des prix exorbitants.

Ces carpes koï ont également des écailles à l’éclat métallique. Bien qu’ils puissent techniquement être de n’importe quelle couleur standard (rouge, noir, blanc), la plupart des koïs Ogon sont de couleur dorée réfléchissante (Ogon standard) ou blanc argenté (Ogon platine).

En fait, le mot Ogon est un terme japonais (prononcé phonétiquement en anglais) qui se traduit librement par  » couleur dorée  » (Ōgonshoku). Ces carpes se vendent à partir de 92 euros, mais les prix peuvent atteindre 7 400 euros par carpes.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Avoir un bassin de koï rempli de spécimens dorés est un moyen sûr d’impressionner les invités. Après tout, ces couleurs sont associées à certains des métaux les plus précieux de la planète.

Mais l’élevage de koïs métalliques de couleur unie peut prendre beaucoup de temps. Par conséquent, les koïs Ogon sont relativement rares, mais la demande des acheteurs les plus riches reste élevée. Cette relation entre l’offre et la demande les rend plus chers que les autres races.

9. La carpe koï Kujaku vendue à 9 200 euros

carpe koï Kujaku

La race Kujaku est étroitement liée au koï Ogon. Toutes deux sont appréciées pour leurs écailles métalliques hautement réfléchissantes. Mais alors que les koïs Ogon sont de couleur unie, les koïs Kujaku ont généralement des écailles blanches, rougeâtre et orangées.

Les spécimens les plus prisés présentent également un motif net d’écailles à pointes noires le long de leur dos. Cela donne à la race des koïs Kujaku une apparence unique qui séduit certains acheteurs.

Les koïs de la race Kujaku présentant un pourcentage plus élevé de coloration noire ont tendance à atteindre les prix les plus bas, se vendant souvent à environ 74 euros. Mais les spécimens au corps blanc, aux taches orange vif et au motif noir en forme de filet le long de leurs épines peuvent se vendre jusqu’à 9 200 euros.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Le motif spécifique de l’écaille du koï Kujaku est la principale raison pour laquelle il est si cher. Après tout, l’élevage des koïs pour créer ce motif distinct est un défi et demande souvent beaucoup de travail, ce qui augmente le prix final de chaque carpe.

8. La carpe koï Shiro Utsuri vendue à 9 200 euros

carpe koï Shiro Utsuri

Avez-vous déjà rêvé de posséder une carpe koï qui ressemble à une vache laitière ou à un dalmatien ? Si c’est le cas, vous voudrez jeter un coup d’œil au koï bicolore Shiro Utsuri !

Ce type de koï a des taches d’écailles noires qui entourent son corps blanc, ce qui lui donne un aspect contemporain qui plaira à certains acheteurs. Cependant, les spécimens les moins chers appartenant à cette variété ont tendance à se vendre à plus de 920 euros, tandis que les carpes les plus chers se vendent jusqu’à 9 200 euros.

En tant que tel, cette carpe noire et blanche est l’un des types de koï les plus chers du marché.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Les koïs Shiro Utsuri les plus chers présentent un équilibre entre les écailles blanches et noires. Malheureusement, il n’est pas facile de produire des carpes présentant ce motif idéal, car les motifs et les couleurs des écailles varient légèrement à chaque génération.

En résumé, l’élevage et la production de ces carpes bicolores est un processus qui demande beaucoup de temps et de travail. Ces coûts sont répercutés sur le consommateur par le biais de prix plus élevés.

7. La carpe koï Benigoi vendue à 13 800 euros

Le koï Benigoi ressemble presque à un poisson rouge de fantaisie. Comme les carpes koï Ogon, ces spécimens ont un corps de couleur unie. Mais contrairement aux koïs Ogon, les koïs Benigoi ne sont pas métalliques.

De plus, cette race est remarquable pour sa coloration rouge-orange vive. Pourtant, un seul spécimen peut se vendre jusqu’à 13 800 euros, ce qui rend le Bénigoï beaucoup plus cher que le poisson rouge moyen de votre animalerie.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Les koïs Benigoi ayant un corps plus important et plus rond ont tendance à se vendre plus cher que les spécimens plus petits et plus minces. De nombreux investisseurs qui achètent cette race de koï apprécient sa taille et son apparence de poisson rouge.

Dans l’ensemble, l’attrait esthétique est la principale raison pour laquelle ce poisson koï est coûteux.

6. La carpe koï Kumonryu vendue à 13 800 euros

carpe koï Kumonryu

La carpe koï Kumonryu est étonnamment similaire à la race Shiro Utsuri. Par exemple, les deux sont connus pour leurs écailles noires et blanches.

Cependant, alors que les écailles noires du Shiro Utsuri ont tendance à s’enrouler autour de son corps comme un ruban sombre, les koïs Kumonryu ont des écailles noires qui ont tendance à tomber en longues lignes sur toute la longueur de leur corps.

Ces poissons ont un corps noir et blanc, ce qui les rend idéaux pour les aquariums d’intérieur dans les maisons contemporaines et élégantes au décor neutre à deux tons. Cependant, ce ne sont pas les spécimens les plus abordables. De nombreux spécimens de koï Kumonryu se vendent jusqu’à 14 000 euros.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Alors que les premières carpes koï élevées par l’homme étaient entièrement noires, des siècles de reproduction sélective ont donné naissance à des carpes de différentes couleurs.

Néanmoins, le mélange de noir et de blanc est assez rare. En tant que tel, le koï Kumonryu a tendance à être plus difficile à élever que le koï avec des taches de rouge ou d’orange.

Notamment, ces poissons noirs et blancs sont des exemples de koïs Doitsu (sans écailles).

5. La carpe koï Doitsu vendue à 14 800 euros

carpe koï Doitsu

Le koï Doitsu est un exemple exceptionnel de reproduction sélective, et c’est l’un des types de koï les plus rares.

Ces spécimens n’ont pas d’écailles. Au lieu de cela, ils ont une peau lisse qui peut présenter différentes couleurs. En fait, Doitsu est souvent utilisé comme un descripteur, car presque tous les types de koï peuvent naître sans écailles, ce qui en fait un koï Doitsu.

Les koïs Doitsu avec des motifs Showa, Sanke ou Kōhaku sont plus courants que les autres variétés. Néanmoins, les Doitsu aux colorations uniques peuvent se vendre jusqu’à 15 000 euros par poisson.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Le corps sans écailles d’un koï Doitsu résulte d’une mutation génétique spécifique transmise de génération en génération. Cette mutation est relativement rare, ce qui rend les koïs Doitsu plus chers que les autres types.

4. La carpe koï Tancho Kōhaku vendue à 15 700 euros

carpe koï Tancho Kōhaku

Le koï Tancho Kōhaku ressemble au drapeau japonais, ce qui en fait un favori national. Il a un corps blanc brillant et un cercle rouge vif au-dessus de sa tête.

Cependant, son motif de couleur distinct est également le résultat de siècles de reproduction minutieuse, ce qui fait de cette carpe une marchandise coûteuse. Le Tancho Kōhaku le moins cher coûte environ 1 700 euros.

Ces spécimens comparativement bon marché peuvent être imparfaits (c’est-à-dire avoir une légère coloration orange sur la tête en dehors du cercle rouge emblématique). En revanche, les koïs Tancho Kōhaku sans défaut sont beaucoup plus coûteux, coûtant souvent jusqu’à 15 700 euros chacun.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Les motifs d’écailles des carpes varient légèrement de génération en génération. L’élevage de poissons qui présentent cette combinaison précise de corps blanc uni et de taches rouge-orange vives sur la tête peut s’avérer difficile. Le travail nécessaire à la production du koï Tancho Kōhaku est l’une des raisons de son prix exorbitant.

Mais cette race est également très populaire, car cette carpe est représentatif du drapeau japonais. C’est pourquoi la demande dépasse presque toujours l’offre, ce qui entraîne une hausse des prix.

3. La carpe koï Showa vendue à 62 600 euros

carpe koï Showa

Le koï Showa est l’un des types de koï les plus populaires, en grande partie en raison de son apparence traditionnelle et de sa longue lignée. Ces spécimens présentent un mélange d’écailles blanches, noires et rougeâtre-orange vif.

Contrairement au Tancho Kōhaku, qui présente un motif d’écailles particulier, le Showa koï peut présenter divers motifs. Néanmoins, la caractéristique de cette race est son pourcentage plus élevé que la moyenne d’écailles noires (également appelées sumi) qui vont souvent de la tête à la queue.

Certains de ces koïs se vendent à partir de 65 euros, mais le prix moyen est d’environ 460 euros. Certains des spécimens les plus chers (et les plus grands) se vendent 25 800 euros ! Un Showa femelle de 40 cm s’est même vendu pour 7 millions de yens (62 600 euros) lors d’une vente aux enchères en 2014.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

La popularité et la lignée de cette race sont les principales raisons pour lesquelles elle se vend à des prix aussi incroyables. Comme pour les autres races de koï, les Showa koï du Japon ont tendance à atteindre les prix les plus élevés en raison de leurs tailles supérieures à la moyenne et de leurs lignées étendues.

2. La carpe koï Sanke vendue à 314 500 euros

Ce type de koï présente l’un des plus anciens motifs de koï créés par l’homme et, comme la race Showa, les koï Sanke sont très prisés en raison de leur lignée séculaire.

Comme le koï de la race Showa, le koï Sanke (également appelé koï  Taisho Sanshoku) possède un peu d’écailles noires qui rappellent les premiers koï d’ornement élevés au Japon.

La principale caractéristique qui différencie ces types est le motif de couleur sur la tête du poisson. Par exemple, les koïs Sanke ont généralement des écailles blanches et rouges sur la tête, tandis que les Showa peuvent avoir des écailles blanches, rouges et noires. Les carpes koï Sanke ont généralement un motif noir en forme de taches autour du corps, tandis que les carpes koï Showa ont généralement le motif noir sur la tête ou les trois couleurs sur la tête.

Cependant, ces carpes koï ont également des écailles blanches et rougeâtre-orange. Le pourcentage de ces couleurs (et leurs motifs) différencie le Sanke en plusieurs sous-types.

Ces poissons se vendent parfois à partir de 75 euros, mais les prix peuvent atteindre 37 000 euros pour les plus grands spécimens.

Les koï serpents rares peuvent facilement atteindre plus de 92 000 euros dans une vente aux enchères. Un magnifique Sanke Taisho appelé « Shining Rose » s’est vendu à 21 millions de yens (197 000 euros) lors d’une vente aux enchères en 2013 et un Sanke Maruten s’est vendu 41 millions de yens (315 000 euros) lors d’une autre vente aux enchères en 2015.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

Le koï Sanke est très prisé en raison de ses origines anciennes et de sa coloration unique. En outre, de nombreux amateurs et collectionneurs de koï considèrent les koï Sanke comme les descendants des premiers koï élevés par l’homme, ce qui leur confère une importance historique.

Les koï Sanke les plus chers sont de grande taille (plus de 30 cm), avec un corps rouge vif et blanc marqué de taches noires de jais. Le Doitsu Sanke se vend souvent plus cher que les spécimens de Sanke standard ou de Gin Rin Sanke.

1. La carpe koï Kōhaku vendue à 1 660 000 euros

carpe koï Kōhaku

La carpe koï la plus chere est la race Kōhaku. Ce type de koï se vend entre 46 000 et 1 660 000 euros. Bien que cette fourchette soit vaste, elle fait de cette race la plus précieuse de tous les types de koï. Elle est présente sur les listes d’envies de beaucoup d’amateurs avec une réf VHQ et un poids idéal atteint à l’âge du Sansaï.

Ce type de koï est reconnaissable à son corps blanc et à ses taches orange ou rougêatre vif. Les spécimens les plus chers ont tendance à avoir un corps principalement blanc, avec des bandes d’écailles blanches séparant les éclaboussures d’écailles orange et rouges.

La carpe koï la plus chere jamais vendu est le S Legend, un spécimen massif élevé au Japon. Ce koï Kōhaku mesurait plus d’un mètre de long. Il s’est vendu à un acheteur à 203 millions de yens (1 660 000 euros) en 2018.

Pourquoi elle coûte aussi chère ?

La race Kōhaku est l’une des plus chères en raison de sa nature emblématique. Lorsque la plupart des gens pensent au poisson koï, ils imaginent une carpe blanche et écarlate qui ressemble à l’identique à cette race.

Cette association fait du Kōhaku l’un des types de koï les plus reconnaissables et les plus populaires, ce qui augmente la demande pour cette carpe.

Qu’est-ce qui explique la cherté de certaines carpes koï ?

Le prix moyen d’une carpe koï adulte est d’environ 37 euros, mais certains koïs coûtent des milliers (voire des millions) d’euros. Alors, pourquoi certains poissons koï sont-ils beaucoup plus chers que d’autres ?

En général, quatre facteurs influencent le prix des poissons koïs :

  • La provenance ;
  • La grosseur ;
  • Le Transport ;
  • La rareté ;
  • L’âge

Prenons un moment pour discuter de ces qualités plus en détail. Ainsi, vous comprendrez mieux pourquoi certains koïs sont incroyablement chers.

La provenance

Le lieu de naissance d’une carpe koï peut également influencer sa valeur. Par exemple, les poissons koïs nés aux États-Unis ont souvent beaucoup moins de valeur car plus disponible que les poissons élevés au Japon.

La raison de cet écart est relativement simple : le lignage ! Les carpes koï élevées au Japon proviennent souvent de lignées qui remontent à des centaines d’années. Cela rend leur génétique facilement traçable.

En revanche, les poissons koïs élevés aux États-Unis (et dans d’autres pays occidentaux) peuvent avoir des lignées beaucoup plus courtes ou énigmatiques.

Notamment, le bonsaï le plus cher du monde et la carpe koï la plus chere jamais vendu proviennent d’Hiroshima, au Japon.

La grosseur

Tout comme les poissons rouges les plus chers du monde, les poissons koïs les plus chers sont souvent relativement grands. Cela signifie qu’ils mesurent souvent un pied de long ou plus.

L’une des raisons pour lesquelles les grands poissons koï ont tendance à valoir plus cher est qu’ils sont visuellement attrayants. Par exemple, avoir un bassin de koï rempli de spécimens massifs ne manquera pas d’impressionner.

Cependant, la taille et la santé sont étroitement liées. Les poissons koïs deviennent plus proéminents à mesure qu’ils vieillissent, et les spécimens les plus sains ont tendance à atteindre les âges les plus avancés et les plus grandes tailles.

Un critère important à prendre en compte dans l’évaluation des carpes koï est leur sexe. En effet, il est à noter que les femelles sont généralement plus chères que les mâles. Cette différence de prix s’explique par le fait que les femelles ont tendance à devenir beaucoup plus grosses que les mâles, qui restent plus « small ». Les femelles peuvent atteindre une taille supérieure à 1 mètre, ce qui n’est pas le cas pour les mâles. On peut déjà observer une différence de prix sur les Nisaï, les carpes koï âgées de 12 à 24 mois, car les éleveurs tels que Yagenji, Higarashi ou Marudo anticipent un potentiel croissance de taille. Il faut prendre en compte chaque détails afin de faire une selection des carpes les plus splendide avaant de les ajouter à sa liste d’envie.

Par conséquent, les amateurs de koï ont tendance à graviter vers des carpes plus grands, car la taille volumineuse de ces poissons indique une santé et une longévité supérieures.

Le transport

La plupart des poissons koï les plus chers proviennent du Japon. Les acheteurs vivant hors du Japon qui souhaitent acquérir un spécimen de premier ordre doivent donc souvent payer des frais d’exportation et d’importation.

En outre, le transport d’une carpe d’une région du monde à une autre peut être assez coûteux, car ces poissons ont besoin de réservoirs d’eau pour survivre. Comme vous pouvez l’imaginer, un réservoir lourd contenant une énorme carpe koï pèsera forcément beaucoup plus lourd qu’un sac en plastique contenant un minuscule poisson doré !

La rareté

À l’origine, les poissons koï étaient entièrement noirs. Mais grâce à des centaines d’années d’élevage sélectif, ces poissons sont maintenant disponibles dans une large gamme de couleurs et de motifs, chez des élèveurs comme Yagenji, Higarashi ou Marudo.

Néanmoins, certaines couleurs et certains motifs d’écailles sont beaucoup plus rares que d’autres. Ainsi, à l’instar des bêtas les plus chers, les races de koïs rares ont tendance à se vendre à des prix beaucoup plus élevés que les variétés ordinaires.

Par exemple, les koïs de couleur unie ont tendance à être plus rares que ceux qui ont des motifs multicolores. En outre, les koïs présentant des motifs spécifiques, comme le Tancho Sanke et le Tancho Kōhaku, qui ont un grand cercle rouge au-dessus de la tête, peuvent également se vendre à des milliers d’euros.

L’âge

Au Japon, des expressions sont employées pour désigner l’âge des carpes koï, et ces mêmes termes sont également utilisés en France pour déterminer leur âge. Voici les différents termes et leurs significations :

  • Tosaï : désigne une carpe koï âgée entre 0 et 12 mois.
  • Nisaï : fait référence à une carpe koï âgée entre 12 et 24 mois.
  • Sansaï : désigne une carpe koï âgée entre 24 et 36 mois.
  • Yonsaï : correspond à une carpe koï âgée entre 36 et 48 mois.

Quelle variété de carpe koï est la plus coûteuse ?

Le Kōhaku est le type de carpe le plus coûteux. Son prix peut aller de 46 euros jusqu’à des milliers d’euros. Il faut savoir en fait que le poisson koï le plus cher qui ait été vendu est un Kōhaku d’origine japonaise (Hiroshima).

Ce type de koï est très apprécié et également très prisé en raison de ses tailles très géantes (peut atteindre plus d’un mètre de longueur) et de ses couleurs (blanche et orange) qui le distinguent facilement des autres types de carpes koï.

Ils existents plusieurs éleveurs connu pour se procurer des carpes koï au japon comme l’élèvage Yagenji, Higarashi ou Marudo. N’hésitez pas à utiliser un comparateur en ligne et vérifier la réf de la carpes à savoir VHQ (pour Very High Quality), HQ (pour High Quality) et S (pour Standard).

Vous savez maintenant tout sur les koïs les plus chers au monde. Si vous projetez de créer un bassin d’extérieur et d’y mettre des poissons d’ornement, le Kōhaku japonais fera sans doute l’affaire. La beauté de ses couleurs constitue un délicieux spectacle pour les yeux mais pour y assister devant votre propre bassin, vous savez quel montant prévoir selon ce classement !

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